- Gestion du prurit : au cœur de la prise en charge du patient
- 1. Rôle majeur des cytokines Th2 et sensibilisation au prurit
- 2. Des douleurs fréquemment associées
- 3. Comment traiter efficacement prurit et douleurs
- Physiopathologie de la dermatite atopique
- 1. Des endotypes variables selon le stade évolutif, l’âge et l’ethnicité
- 2. Association endotype-phénotype et marche atopique
- 3. Vers un traitement orienté par le profil moléculaire ?
- Nouveaux traitements systémiques, nouvelles perspectives thérapeutiques
- 1. Efficacité significative du baricitinib per os et maintien dans le temps sous traitement
- 2. Amélioration rapide du prurit, des douleurs et du sommeil
- 3. Un profil de tolérance favorable recoupant l’expérience en rhumatologie
- 4. De nombreuses autres molécules à l’étude
L’approche de la dermatite atopique (DA) se modifie à grande vitesse, tant au plan de sa conception que de sa prise en charge. Certes, la DA concerne l’enfant, mais également près de 4 % des adultes en Europe. Bien sûr, les lésions démangent, mais elles sont aussi douloureuses et impactent lourdement la qualité de vie. D’accord, l’activation de la voie Th2 domine le processus immunologique, mais d’autres profils cytokiniques sont observés. Quant au traitement, il se voit bouleversé par l’arrivée des nouvelles molécules pour les formes modérées à sévères. Le symposium des Laboratoires Lilly intitulé “Dermatite atopique, avancées (à) venir : la dermatite atopique à l’ère des nouveaux traitements systémiques” a exploré ces thèmes d’actualité lors des dernières JDP.
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