Quoi de neuf dans la maladie de Verneuil ?

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L’hidradénite suppurée (HS) reste la dermatose inflammatoire responsable du plus lourd fardeau chez nos patients. Et pourtant, les avancées thérapeutiques sont plus lentes que pour le psoriasis, la dermatite atopique ou l’urticaire chronique. Sans doute ce constat est-il lié à la physiopathologie bien plus complexe de cette maladie. Difficile d’isoler ici une cytokine prédominante comme dans le psoriasis, une cible auto-immune bien identifiée comme les IgE dans l’urticaire. Néanmoins, l’arsenal thérapeutique s’élargit lentement, les essais cliniques ciblant d’autres molécules que les cytokines se multiplient et les espoirs sont réels dans les années qui viennent.

Une avancée importante avec l’arrivée d’une nouvelle biothérapie : mise à disposition prochaine d’un anti-IL17, le sécukinumab

Depuis 2015, une seule biothérapie est agréée par l’Agence européenne du médicament (EMA) au cours de la maladie de Verneuil, remboursée[...]

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À propos de l’auteur

RESOPSO Unité de Dermatologie et Immunologie clinique, Hôpital Privé d’ANTONY.