- Une avancée importante avec l’arrivée d’une nouvelle biothérapie : mise à disposition prochaine d’un anti-IL17, le sécukinumab
- Un autre anti-IL17 en approche : le bimékizumab
- L’adalimumab combiné à la chirurgie est efficace et bien toléré, sans altérer le processus cicatriciel (étude SHARP)
- Une nouvelle option thérapeutique pour traiter les fistules : l’injection de sérum salé hypertonique
- Intérêt d’un JAK inhibiteur dans le traitement de l’HS
- Passer de l’adalimumab princeps au biosimilaire : pas si simple et il existe des pertes de réponse
- Traitements de l’HS par rétinoïdes : maintien thérapeutique insuffisant en vraie vie
- Les anticorps anti-IL36 récepteur sont testés actuellement dans deux essais thérapeutiques
L’hidradénite suppurée (HS) reste la dermatose inflammatoire responsable du plus lourd fardeau chez nos patients. Et pourtant, les avancées thérapeutiques sont plus lentes que pour le psoriasis, la dermatite atopique ou l’urticaire chronique. Sans doute ce constat est-il lié à la physiopathologie bien plus complexe de cette maladie. Difficile d’isoler ici une cytokine prédominante comme dans le psoriasis, une cible auto-immune bien identifiée comme les IgE dans l’urticaire. Néanmoins, l’arsenal thérapeutique s’élargit lentement, les essais cliniques ciblant d’autres molécules que les cytokines se multiplient et les espoirs sont réels dans les années qui viennent.
Une avancée importante avec l’arrivée d’une nouvelle biothérapie : mise à disposition prochaine d’un anti-IL17, le sécukinumab
Depuis 2015, une seule biothérapie est agréée par l’Agence européenne du médicament (EMA) au cours de la maladie de Verneuil, remboursée[...]
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